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Un peu de silence ..
8 octobre 2020

Pas contente !

Vous savez quoi ? Hier, j'arrive à l'orée des champs, innocente comme l'agneau qui vient de naître, et

QUE VOIS-JE ?

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Des marques de roues !

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Des grosses marques de grosses roues, même !

Le paysan est passé avec son tracteur plein de roues ! Non mais regardez ça ! Dans quel état il a mis MON chemin ! Ça glisse, ça fait des bruits de succion, c'est dégoûtant !

Quel sans gêne !

Et mon coin pipi ?

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Vous avez vu ce qu'il reste de mon coin pipi ?

Obligée de faire demi-tour !

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Groumph !

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Finalement, il ne doit pas avoir les yeux si bleus que ça ! Marronnasse, plutôt ! Oui, bleu marronnasse, ça c'est sûr !

Où je vais aller, moi, maintenant ?

Pas contente !

Pas contente !

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Et sous le pont, de pire en pire ..

Si ça continue je vais sortir en maillot de bain ..

 

Bonne journée à vous !

fleurs

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17 octobre 2020

Si tu savais comme il me manque (Saby)

Bonjour à vous mes amis,

aglagla, ce matin, non ? 

Pour nous réchauffer, je vous propose, si vous le voulez bien, de nous plonger dans le ravissement de l'histoire d'amour de Sabinette, dont vous trouverez l'espace virtuel si chaleureux ici.

Je vous souhaite un bon week-end à tous !

(¯`*´¯)
`*.¸.*
¸.*¨ ¸.*¨)
(¸. .´ ¸¸.`¨

‘‘Ah mamamille qu'"Il" était beau, habillé de Jean's et d'une marinière .... et ses yeux bleus où je me suis perdue ..

Il avait un petit air de Marlon Brando et/ou de James Deen ...... et il avait un "transit" pour me déménager ... un pote de mon pote ....... AHAH mon coeur a fait "cracbohuuuu" j'étais raide dingue de ce mec qui portait mon matelas jusqu'au troisième étage, dans l'escalier de l'HLM où j'allais loger ..... les semaines suivantes on se cherchait chaque fois que l'on rentrait dans le bar que l'on fréquentait tous deux ...... et j'ai fini par l'inviter à boire du Champagne chez moi, offert par le patron du fameux bar .... il n'aimait pas le champagne mais il est venu ..... j'avais une petite bière au frais !!! c'était en juillet 1982 .......................................................................................................................... et on ne s'est plus quittés jusqu'à ce que la mort nous sépare en novembre 2018 .... 36 ans avaient filé .... 

Voilà mon histoire, mon coup de foudre de mes 20 ans, ma petite dame neige, bientôt deux ans qu'il n'est plus à mes côtés, si tu savais comme il me manque et comme je l'aime et l'aimerai toujours mon Jeannot !

Saby

coeurs volants

14 octobre 2020

Une merveilleuse surprise

3745803395

La photo qui illustre la dernière note du Goût me fait penser à un couple d'amoureux (lisez sa note et vous verrez que je n'en suis pas loin !).

De fil en aiguille, mes pensées se sont tournées vers vous, prêtes à vous faire une merveilleuse surprise : et si vous racontiez comment vous avez rencontré votre chéri/chérie ? Ce qui vous a séduit en elle (en lui), ce qui lui a plu en vous ?

Pour participer à ce nouveau jeu absolument sublime, je vous invite à envoyer votre réponse dans ma boîte mail, je la partagerai ensuite ici (je peux la montrer de façon anonyme si vous le souhaitez). Vous pouvez joindre une illustration, ce serait un plus !

Allez, hop hop !

Le Goût, Heure-Bleue, Fabie, Praline !

Reynald (tu m'as bien dit que c'est grâce à moi, non ?) ! Lucie, Agnès, Alain (pour toi, je sais ! Elle n'a pas résisté à tes yeux ! J'ai hâte !) !

Julie, Élisabeth, Nina, Chantal !

Délia (tu rentres pile poil pour te mettre à l'ouvrage !) !

Bibique, Daniel, Baladine, Marie-Marmotte, votre histoire doit être merveilleuse !

Coum, Adrienne, Saby, Pivoine, Xoulec !

Oh la la, je suis pressée ! Ma messagerie va déborder !

 

ecureuils

 

Je vous bisoute, mes boulibous !
À très vite !

 

 

25 août 2021

Bibique (Dominique)

Dominique 2 ans

Une des premières photos que m'a confiée Bibique,

je ne m'en lasse pas ! Cro cro mignonne !!

‘‘  Pour le pseudo c’est tout simplement ma grand-mère maternelle (qui m’a élevée) qui m’appelait ainsi et j’étais très attachée à elle, voici 35 ans qu’elle est décédée et elle est toujours très présente.

Et toi : Ambreneige ?

Bibique

 

●•٠·˙. ˙·٠•●

 

Toujours pas de blog pour notre Bibique nationale (qui est la Mamie très occupée (bien que secondée par le Papou) de quatre petits-enfants plein de vie)(sans parler des "petits-enfants à poils"), mais vous pouvez aller lire, ou relire, ses souvenirs d'enfance ...

ici

Dominique

ou encore redécouvrir les toutes premières photos qu'elle a partagées avec nous

ici.

coeur1

 

 Je vous souhaite à tous une merveilleuse journée !

 

bisou coeur

22 juin 2022

Célèbre et modeste

Il y a d'abord eu la vache.

 

Neige

Bon, en même temps, une vache "très agitée" "qui se lève et fixe le visiteur", démontrant ainsi son formidable intérêt pour autrui, et qui "incarne tous les canons de beauté" ne peut que s'appeler Neige ! (en plus, elle a forcément plus de seins que moi)(tout le monde a plus de seins que moi)

En vrai, cette vache merveilleuse s'appelle Ambre Neige, à cause de la couleur ambrée de ses oreilles extrêmement belles, et des auréoles autour de ses yeux fabuleusement beaux ! mais les journalistes ont gardé cette information confidentielle pour eux, afin d'éviter de provoquer une émeute sur mon blog: 'on s'est quand même inspiré de mon nom !

 

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Maintenant, voyez-vous, il y a la girafe.

 

girafe

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"Intrépide, aventurière et espiègle, Adeline est l'étoile montante de Paris" : tout ma fille !

 

Que voulez-vous.. on est célèbres (et modestes), ou on ne l'est pas ..

 

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27 juin 2016

J'aime la mer

DSCN1243Bonjour à vous,

cette photo date de l'été dernier. Vous voyez comme c'est beau, toutes ces nuances de bleu?

20150901_140857Les couleurs changent toute la journée, passant du gris bleuté à l'ocre tendre puis au rose poudré, des camaïeux de gris, de beiges, de blancs, des lumières opalescentes et nacrées, des ciels immenses aux cirrocumulus pommelés (rebaptisés dragibus éphémères par ma fille) ....

J'aime la mer et je me dis que j'ai tellement, tellement de chance d'avoir eu des parents qui nous ont emmenés pendant toute notre enfance et jeunesse à Franceville en juillet, et en Italie, Grèce, Yougoslavie en août, ce n'était pas donné à tout le monde de prendre des congés et encore moins de partir pendant deux mois!!! Qui peut se payer ça de nos jours? Quel paradoxe! Autrefois, ceux qui partaient en vacances étaient des privilégiés, maintenant que tout le monde peut partir, plus personne n'a les moyens!!

Enfin bref.

Je sais que je donne l'impression de toujours regarder en arrière. En même temps, c'est pas faux, je ne suis pas Cancer pour rien! C'est juste que j'adore me rappeler, d'abord c'est très valorisant, je suis la Mémoire de ma famille, pas seulement mes parents mais les anciens aussi, j'ai récolté tout au long de ces années des photos, des coupures de journaux (Noces d'Or de mes arrière-grands-parents par exemple), j'ai écouté les histoires, je les ai notées! J'ai cherché, fouiné, oui OK je suis la plus grande curieuse de la terre mais la curiosité est une qualité, pas vrai? Ça prouve qu'on s'intéresse! Et trouvez-moi une seule personne qui n'aime pas un peu raconter comment c'était avant, quand elle était jeune... Maintenant que plus personne de ma famille n'est là, c'est tellement cool d'avoir tout ça, alors bon, oui je regarde le passé, j'ai toujours adoré ça, j'y peux rien moi! La grande mode c'est regarder devant, vivre ici et maintenant, comme si ici et maintenant c'était pas la suite d'avant!

Enfin bon. Moi, j'aime la mer!

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7 juillet 2016

Tout ou rien

Depuis quelques temps, mes discussions avec ma fille ressemblent à peu près à ça:

<< (elle) Il est trop gentil c'est vraiment suspect. Je crois que je vais rompre...

(moi) Mais toi tu es tout le temps super gentille avec tout le monde! Tu as juste rencontré ta version au masculin! Pourquoi ça te fait peur?

(elle) Parce que, c'est pas possible d'aimer quelqu'un si vite. Il ment.

(moi) Tu ne crois donc pas au coup de foudre?

(elle) Si! Mais pas comme ça!

(moi) Ah oui je vois, tu crois au coup de foudre qui prend son temps... Un coup de foudre modéré, quoi..

(elle) Voilà!

Le soir suivant:

(elle) Hier j'étais un peu excessive. Je me demande si je ne vais pas aller vivre avec lui. D'ailleurs, je lui fais la tête.

(lui) Ah? Il sait pourquoi?

(elle) Bah non! Mais c'est parce que j'ai envie de le voir! Il comprend rien!

(moi) D'accord. Nous sommes donc passées en moins de 24h de la rupture à un projet de vie commune dont tu ne lui as pas parlé. Et tu n'as pas songé, je ne sais pas, à ce que vous vous voyiez, heu, normalement? Sans rompre ou sans tout de suite vivre ensemble? T'es au courant qu'il y a quelque chose entre les deux? >>

Je dis ça, mais en fait, je compatis. De tout mon coeur. Je sais tellement ce que c'est! Tout/rien, noir/blanc tout le temps, c'est juste l'enfer.

Des nuances? AH? Ça existe?

Alors je me pose la question: de quoi cela vient-il? D'où naît cette impossibilité à appréhender une situation avec tous ses possibles? Serait-ce héréditaire??? Et surtout, y a-t-il un remède??!!!

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T'en penses quoi, Kiritéa?

 

(\__/)
(='.'=)
(")_(")

 

2 août 2016

Calme et posée

Bonjour à vous,

certains commentaires suggérant des positions avec ou sans les épaules m'ont rappelé un exercice que j'avais commis il y a quelques années. Pour ceux que cela intéresse, veuillez je vous prie vous transporter ici.

Maintenant, foin de toutes ces positions. Je suis devenue une femme calme et posée. Devant la mer, de préférence. Eh oui, on ne se refuse rien!

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DSCN6899C'est beau, hein? En plus super de la chance, grisaille en Île-de-France et on arrive là-bas: un beau soleil! Gazelle s'est quand même emmitouflée dans une écharpe de laine, mais bon!

20160728_160727Alors ça, ça m'a fait super rêver... Un homme, surfeur de son état, tiré par son cerf-volant. Enfin ça ne doit pas s'appeler comme ça, mais bref, vous voyez l'idée???

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Belle journée à vous!

     (¯`v´¯)
    `·.¸.·´
☻/
/▌
     / \ ♥♥

 

28 août 2016

Message d'introduction

Bonjour à tous,

je voudrais partager ici quelque chose qui s'est introduit dans ma vie depuis quelques temps et qui m'apporte beaucoup (sauf quand je suis vraiment trop angoissée et stressée)(ce qui n'arrive absolument jamais comme le savent ceux qui me connaissent), je veux parler des "p'tites médit'" dont mon aînée me rebat les oreilles depuis une bonne treizaine de mois  clin d oeil (2)

Comme quoi, hein, la ténacité finit par payer... Ce qui n'empêche pas, comme vous l'avez vu dans l'anecdote d'hier, qu'on arrive toujours à se retrouver dans des situations pas possibles (chassez le naturel...) mais au moins maintenant, on prend les choses avec, heu, enfin, on respire calmement, quoi! Enfin... On essaie!rire

Alors, première tentative de médit', c'était il y a un peu plus d'un an:

20150621_180902 ADE

 Décor calme et paisible..Un lieu idéal pour se recueillir, se dit ma fille..... jusqu'à ce que sa vilaine maman vienne en troubler la quiétude

(Notez comme ma fille reste stoïque)(Enfin... Presque!)

 

 

19 octobre 2017

Comme une caresse

 

femme

 

Ça doit être génial d’avoir de l’argent. Avoir de l’argent pour aller au ciné. Avoir de l’argent pour emmener mes filles, mes amis, au restau. Avoir de l’argent pour prendre des cours de plongée, de taï-chi, de zénitude. De zénitude... Je me rappelle, lorsque j’ai connu Frédéric il y a un certain nombre d’années maintenant, je trouvais ça surprenant qu’une personne (lui, en l’occurrence) puisse rester des heures entières sans bouger – sans bouger ! – et surtout, de son plein gré. Je trouvais ça bizarre qu’il parte régulièrement en retraite loin de tout, et qu’il aime ça !

Aujourd’hui, pour la première fois, j’en ai envie. J'ai envie d'être seule, au calme. Je me rêve dans un jardin de juniperus bleus enlacés par des points d’eau serpentant comme des sourires. Je pose ma main droite sur mon cœur. Je pose ma main gauche par-dessus. J’écoute le silence, nourrissant comme du pain. Je ferme les yeux. Je suis bien. La brise tiède du vent effleure mon âme comme une caresse.

La brise tiède du vent effleure mon âme comme une caresse..

 

10 août 2018

La voix de la mer

P_20180808_140220aParenthèse enchantée mercredi dernier: petite virée à Quend, une plage que j'adore. Les températures venaient de dégringoler, mais pas ma joie de sentir le sable doux sous la plante de mes pieds.

P_20180808_140234aLa mer était basse, le drapeau orange mais j'ai très nettement entendu des voix me susurrer aux oreilles (battues par le vent) "Viens, viens, ô viens nager!"

 14h10

Compte tenu de ma grande sagesse toute récente, je ne me baigne plus toute habillée comme autrefois. J'ai donc commencé par enlever mon panta...

14h04--

Allez hop hop!

14h18 0

14h22Purée, ça souffle sa mère!

14h22 31

14h25 2

14h25 4Donc voilà, je me suis baignée en T-shirt,

notable progrès par rapport à avant, ne trouvez-vous pas?

14 37 1Sur cette note maritime,

je vous souhaite une très belle journée!

`*•.♪♫

 

5 février 2019

Cendrillon nouvelle version

Bonjour à vous,

aujourd'hui je vous propose de faire écho à Angedra en vous racontant non pas la Dame Bleue ou Olentzero que j'avais écrits pour mes petits-enfants, qui ont maintenant 11, 14 et 15 ans (ah! Ce temps où je pouvais émerveiller ma descendance avec autre chose que du soleil et des nanas (dixit le plus jeune.. Ça promet!) mais une version de Cendrillon revisitée par mon fils, un jour que j'étais occupée à faire la vaisselle...

Paillettes-29

(mon fils) C’est l’histoire d’une meuf qui vivait dans un château fort au Moyen Âge ..
(son neveu 4 ans) Un château fort ?
(son neveu 3 ans) A-to fort ?
(mon fils) Oui un château très fort. Elle vivait au troisième étage. Sa darone lui dit "T’as intérêt à faire le ménage sinon t’auras pas de Big Mac"
(son neveu 4 ans) C’est quoi un Big Mac ?
(son neveu 3 ans) Ic-ac ??
(mon fils) Tu sais c’est ce qu’on mange au Mac Do !
(son neveu 4 ans) Eh bah moi, eh bah moi, eh bah moi, j’ai pas le groa d’aller au Mac Do parque Maman elle dit, parque Maman elle dit que c’est des cochoOnneries !
(son neveu 3 ans) Co-OOOnneries !!!
(son neveu 4 ans) Eh bah moi, eh bah moi, eh bah moi, j’ai pas lgroa d’manger des bonbons sinon Maman va me les confikssser!
(mon fils) Oui bah si vous m’interrompez tout le temps vous connaîtrez jamais la fin ! Alors donc la pauv’fille elle arrêtait pas de faire du ménage pour avoir plein de Big Mac et c’est comme ça qu’elle a grossi grossi grossi, et elle s’est dit si je continue de grossir comme ça jamais mon Prince Charmant va me kiffer alors faut qu’j’arrête de faire le nage-mé alors elle fait la grève et elle s’enfuit de chez elle et c’est là qu’elle rencontre sa marraine qui lui donne une citrouille magique, seulement Cendrillon elle en voulait pas de la citrouille magique alors elle l’a jetée..
(son neveu 4 ans) Jetée ??
(son neveu 3 ans) Tétée ??
(mon fils) Elle l’a lancée et la citrouille a explosé en morceaux, vlaaf !!! Comme les assiettes De Mamy quand elle fait la vaisselle !!!! Mamy elle danse en faisant la vaisselle, c’est pour ça qu’il y a tant d’assiettes cassées !!
(son neveu 4 ans) Cassé ?

(moi, sortant de la cuisine) Arrête de leur raconter n‘importe quoi !
(mon fils) Parce que c’est pas vrai peut être ? Un jour j’vais te filmer quand tu danses, avec comme commentaire les extra-terrestres sont de retour ! Tu vas gagner le concours c’est sûr ! Ouaich, donc les morceaux d’la citrouille, ça s’est transformé en CV !
(son neveu 4 ans) Cévé ??
(son neveu 3 ans) Vévé?
(mon fils, les yeux au ciel) Carosses Volants !
(moi) T’as fini de leur raconter n’importe quoi ?
(mon fils) Ben eux i’suivent, au moins !!!
(moi) Parce que je ne suis pas, peut-être ??
(mon fils) Ça c’est clair ! J’me rappelle un matin, j’t’ai raconté un truc, le soir tu rigolais toute seule et j’t’ai demandé pourquoi, tu m’as dit "Elle est drôle ton histoire! " alors j’t’ai dit "Mais j’t’ai pas raconté d’histoire !" et tu m’as dit " Ben si !!!! Ce matin !"

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25 février 2019

Trois soeurs

En écho à la consigne de Lakevio..

 

Mamy et ses soeurs

Trois sœurs, elles étaient trois sœurs.

La petite, n’est-elle pas adorable, avec sa frimousse ronde ? C’est la plus jeune, elle s’appelle Geneviève. L’avenir dira que c’est aussi la plus gentille, la plus douce, la plus maternelle. Toujours le cœur plein d’amour, tant d’amour à donner, malgré tous les malgré…

Elle est bien petite, Geneviève, quand sa famille déménage dans le Nord où on vient de faire à son père une offre de travail. On ne fait pas le difficile quand c’est la guerre (la Première), qu’on se fait licencier parce qu’on est étranger (il est Belge), même si pour cela il faut tout quitter, la région où l’on a toujours vécu, les connaissances les amis, pour aller s’installer là-bas à Avion, dans cette région qu’on ne connaît pas et qui paraît hostile.

Sur les terrils, les premiers terrains de jeu de la petite, jeu qui consiste à ramasser, dès six heures du matin, les morceaux de charbon rejetés de la mine et qui serviront à chauffer la maison. Les enfants ont la figure et le tour des yeux tout noirs, car le charbon imprègne les pores et s’incruste partout ! Mais ils sont fiers de ce charbon récupéré que leurs parents n’auront pas à acheter. Pour la petite Geneviève, le charbon c’est magnifique ! Il y en a de toutes sortes : du gras, du maigre, des gros (qu’on appelle des gaillettes), des galets avec des feuilles incrustées ! Elle pourrait presque s’en faire un collier!

Une enfance heureuse donc, pour cette petite fille qui s’émerveille de tout ce qu’elle découvre autour d’elle.

Dix années s’écoulent ainsi jusqu’à ce que, le contrat de travail paternel achevé, la famille réintègre la maison où Geneviève est née.

Elle a dix-huit ans maintenant, c’est l’âge où l’on sort au bal, où l’on se marie. Geneviève veut des enfants, elle adore les enfants. Lui, il a le regard dur, l’arête du nez tranchante, comme les coups et les insultes qu’il distribue à sa femme quand il a trop bu. Et il boit trop, souvent. Mais elle ne dit rien, elle se tait et c’est bien. C’est la faute à pas de chance.

Un fils leur vient, puis une petite fille qui meurt prématurément. Geneviève est-elle punie par le bon Dieu, par la Vierge Marie qu'elle vénère plus que tout? Pourtant, elle est docile, bonne mère bonne épouse, malgré les coups qui se multiplient. Il doit être si malheureux pour se comporter ainsi.

Et elle se tait, Geneviève, elle courbe le dos sans se départir de son sourire aimant.

Quand naît leur troisième enfant, terrorisée à l’idée que ce dernier puisse lui être enlevé à son tour, Geneviève décide d’emmener ses petits chaque été aux Sables d’Olonne, afin qu’ils soient fortifiés par le bon air de la mer.

Puis vient le temps des petits-enfants, le mari malheureux s’éteint. Geneviève se redresse ostensiblement. Elle peut enfin distribuer son amour, sans relâche, sans barrière, et c’est ce qu’elle fait, Geneviève, parce qu’elle est du miel. Elle n’accable pas, elle ne juge pas.

Elle aime, c’est tout.

 

 les 3 soeurs

L’une est aussi brune que l’autre est blonde, aussi querelleuse que l’autre est tendre. Elle mène son monde à la baguette, Madeleine, elle pleure comme une madeleine, Madeleine, pour obtenir ce qu’elle veut. Et elle l’obtient toujours, au détriment de sa jumelle, trop bonne trop.. bonne. Maman fait des préférences, enfin non ce ne sont pas des préférences, c’est comme ça voilà : la blonde Yvette est docile, donc c'est elle qui reste à la maison pour aider à s’occuper des nourrissons, une tripotée de nourrissons comme autant de frères et de sœurs de lait, pendant que Madeleine-la-tempête parade à l’école. La blonde Yvette, elle aurait bien voulu aller aussi à l’école, malgré les trente-sept élèves de la classe, elle aurait tellement, tellement voulu apprendre à lire et à écrire correctement, que bien plus tard, quand elle serait grand-mère, elle en parlerait encore avec des gros soupirs de regrets dans la voix. Mais voilà, il y a Mado. Mado la première. Première née, première choisie, toujours première.

Quinze ans. Elles ont quinze ans les jumelles. Elles flirtent, même si on n'appelle pas encore ça flirter. Et quand elles regagneront avec leur famille la région parisienne, il y aura une personne de plus : le petit d’Yvette.

Madeleine, elle, c’est de retour à Paris qu’elle le rencontre, son héros. Il est grand, il est musclé, il tonne fort et large. Quel bel homme ! Elle en est folle. Il ne mesure pas le pouvoir qu’il a sur elle, du moins le croit-elle. On est tellement bête quand on est amoureuse. Il l’emporte comme un torrent et la laisse pantoise sur la rive. À peine a-t-elle retrouvé le souffle qu’il la pousse plus loin encore, toujours plus loin et toujours plus haut. Elle l’admire, elle l’adore. Elle brûle de toute son âme et de tout son corps pour lui. Lui, un descendant de Maréchal des guerres napoléoniennes. Il doit lui en rester quelque chose, il règne sur elle comme un empereur. Là, ce n’est plus elle qui mène à la baguette, c’est lui. Mais elle aime ça Madeleine. C’est ça, un homme.

Madeleine lui donne tout. Ils sont affamés l’un de l’autre, féroce de leur rage de se coller l’un à l’autre. Ils ont le diable au corps et à l’âme, et des deux, c’est elle la plus enragée. Hélas, l’enfant ne vient pas, ce fils qu’elle veut tant lui donner. Et Yvette, elle qui ne veut plus d'enfants, n’arrête pas d’être enceinte. Cela ravive encore et toujours leur rivalité primordiale, malgré les hurlements de la blondinette qu’on entend de loin à chaque visite chez la faiseuse d’ange. Elle s’en fiche, Mado, des cris de sa sœur. Elle veut un enfant elle aussi, c’est tout.

Et elle l’aura, vingt ans après le premier d’Yvette. Deux hommes dans son cœur, deux hommes pour elle seule. Enfin.

La voilà à l’hiver de sa vie, avec pour toute compagnie une longue maladie, comme on dit pudiquement. Elle repense à toutes les fois où devant son mari elle s'est tue, paniquée de lui déplaire et qu'il tonne, encore et encore. Elle repense à toutes les fois où elle s'est enfermée, en adoration devant lui, bien à lui, bien terrée. Il l’a emportée comme un torrent et la laisse pantoise sur la rive. C'est donc là, en elle, que tous ses maux se sont logés ? 

La femme d'un empereur ne se meurt pas, il faut la cacher. Il interdit à ses soeurs de la visiter.

Elle qui avait si peur de la mort, elle s’en va seule, terrorisée.

 

.

Mamy Yvette 17 ans

Ma grand-mère n’a pas toujours été une grand-mère. À quinze ans, c’était une pure blonde à la peau diaphane avec de grands yeux azur. Des yeux de myope. Ce sont les plus doux, m’a-t-on souvent dit. Surtout que ma Mamy était bien trop coquette pour accepter de poser sur son adorable petit nez les affreuses binocles de l’époque!

Quinze ans, donc. Et cet air que certains ados d’aujourd’hui arborent à grand renfort d’extasy, ma Mamy l’avait naturellement: regard rêveur, transparent, pailleté d’étoiles. Seulement voilà, ce beau petit bout de nana habitait la région parisienne, c’est-à-dire à plus de deux-cent kilomètres de son prince charmant.

Par chance, le destin s’en est mêlé. Des volontaires pour un atelier de cheminots, sis dans le Pas-de-Calais? Allez zou! Toute la famille, les parents, les sept enfants, les deux chiens, la tatie - veuve d’un Comte de Brunswick, s’il vous plaît - vient s’installer à deux pas du destin et de ma conception à venir.

Prenez maintenant le Don Juan du coin. Dix-sept ans, le cheveu noir, hérité d’une lointaine, mais noble, cousine basque, l’œil de braise, le menton fier, un je ne sais quoi d’altier dans le port de tête, dans l’allure. Le genre de celui qui a gagné le gros lot à la loterie génétique. Tous les attributs que l’on croyait morts avec Arthur et les Chevaliers de la Table Ronde, mon futur grand-père les a. Que dire de plus? Qu’il est loyal, franc, courageux, qu'en toutes circonstances il va droit au but. Un homme qui ne s’embarrasse pas de fioritures, et qui même s’amuse à surprendre, voire à choquer : vous aurez une petite idée de l’homme que fut mon grand-père. Impulsif, impatient, ses colères sont pourtant vite oubliées. Oui, mon grand-père est tout, sauf ennuyeux. Certes, ma grand-mère en fera les frais, car en amour, il aime pour la vie....seulement voilà, il aime souvent!

Voyons la suite.

Très simplement, au cours d’un bal. Bien sûr, comme ma Mamy n’a pas encore 15 ans, son grand frère la chaperonne.. (si par extraordinaire, un jeune me lisait, je précise que ce verbe désuet n’a que peu de rapport avec le Chaperon Rouge). Il faut croire que des obligations l’ont appelé ailleurs, le grand frère, parce qu’aussi sec, mes futurs grands-parents se connaissent (au sens biblique, veux-je dire). Et se mettent à ne plus voyager que sur une mer de phéromones. C’est ma grand-mère, surtout, qui n’arrive plus à atterrir. Genre de petite nana à avoir avalé le résumé de Roméo et Juliette. Le bout de ses doigts, de son cœur, de son esprit, la moelle de ses os semblent complètement imprégnés de lui. Il est sa première et sa dernière pensée de la journée. Tu me manques, lui dit-elle avec des cœurs dans les yeux. Je meurs d’impatience de te voir. Quand est-ce qu’on se voit? Bientôt? N’importe quand! Est-ce que je t’ai déjà dit que tu me manques?

Et le grand frère, me direz-vous? Eh bien le grand frère, voyez-vous, s’est lui aussi trouvé une princesse. Alors pour la surveillance, il y a eu comme qui dirait du laisser-aller..

Si bien que ce qui devait arriver arriva, sous forme de menstruatum interruptus merdouilloum ...

Du jour au lendemain, les valises sous les yeux de ma Mamy ressemblent aux autoroutes qui ne sont pas encore construites dans le coin.

La mère de ma grand-mère est du genre pragmatique. Elle attrape sa blondinette par la main et va aussi sec exprimer ses revendications matrimoniales aux pieds d’Olympe, ma future arrière-grand-mère (j’avoue, rien que son nom fait frémir !!).

Olympe éclate de rire, dévoilant une quantité phénoménale de dents. Comme elle parlait chtimi, la traduction approximative donne ceci : "Min garchon est trop jeune pour se marier, il doit vivre sô vie! J’ai lôché min coq, fallô rintrer vos poules!"

Et elle conclut l’entretien par un sourire rectangulaire.

Ma petite Mamy s’effondre dans un torrent de larmes. Elles lui sortent par les yeux, par le nez, par les oreilles (si,si !). En quelques jours, sa petite vie proprette est transformée en un diagramme de Venn, avec des cercles et des flèches dans tous les sens.

Mais bon hein. Des milliers de femmes accouchent tous les jours, ça ne doit pas être si terrible que ça ! Une de ces choses dont on se fait tout un monde, mais dont on finit bien par en voir le bout (un peu comme la grosse lessive au lavoir dans l’eau glacée !).

Bien, bien. Ma Mamy s’y est donc collée. Surtout qu’au terme des neuf mois réglementaires (enfin, huit pour ce qui concerne son premier-né), il a bien fallu qu’elle s’y colle.

C’est comme ça que mon papa est venu au monde, pas franchement, franchement désiré…

26 février 2019

Interlude (pour Pastelle)

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Mes chers amis,

j'ai une mauvaise nouvelle à vous annoncer : cette photo date. Je sais, ça vous broie le cœur. Soyez forts !

Tout ça, comme d’habitude, c’est la faute à Sophie.

Ah ! Sophie ! Que n’abordas-tu point un autre thème!

Mais bref, le thème est là et avec lui ces images d’un autre temps où je venais de décider d’aller vendre toute une batterie de mes livres (voyez mon air dépité, mon cœur déchiré, mes yeux au bord des larmes)

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ici

soutenue moralement par la seconde de mes filles, la chair de ma chair qui m’en a fait trois (c’est dire si elle connait les endroits où on se défait des livres, fringues et autres jouets) (depuis, j’ai appris fort contrite que j’aurais pu savoir quels livres seraient repris avant de tous les trimballer à Paris!)  

Après l'effort,

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petite pause rafraîchissante..

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devant la fontaine St Michel ♥

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Vous avez vu ? À cette époque lointaine le soleil existait déjà ! Il y en avait tellement ce jour-là que ça faisait de l'arc-en-ciel, c'est beau non ? (Bon en même temps on était en août, c’était un peu plus logique qu’en ce moment!)

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..maintenant vous connaissez la "griffe" photographique de ma fille ;-)

À sa décharge, il y avait du monde, dont un olibrius qui se baignait dans la fontaine (eh oui à Paris on voit vraiment n'importe quoi) et elle ne voulait pas l'avoir sur la photo..

Bon, voilà voilà.

Maintenant, à vous! Envoyez-moi une photo de vous! (Quoi? On peut rêver!)

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Trop tard! CLIC CLIC!

 

Bonne journée à vous!

"(◠‿◠)˙·٠●♥❤

13 mars 2019

L'espace des cieux

sauterelle shalabasana 12 mars 2019

 

Hier, pas de yoga nidra pour finir: ce n’était pas le premier cours du mois, mais le premier cours après les vacances. Pour une fois que j’étais motivée !

Je suis la seule à ne pas aimer yoga nidra, tous les autres ont râlé!

À la place on a eu droit à shalabasana, la posture de la sauterelle, qui renforce paraît-il la détermination. Chez moi elle a surtout renforcé la sensation que mon sang stagnait dans mes fesses sans espoir d'atteindre le cerveau! Quant aux lombaires, elles se sont réveillées avec un grand cri de désespoir en se demandant ce qu’elles avaient fait de si peu recommandable pour devoir expier de la sorte!

Heureusement, après l’enchaînement habituel de cobra, montagne et autre pince (j’adore quand on fait ça à toute vitesse, ma prof se relève avec les cheveux tout emmêlés, si on la voyait comme ça hors contexte on penserait tout de suite à autre chose !), on a fait :

une révérence à la terre.

J’adore la révérence à la terre. Déjà, rien que le nom est merveilleux. Ramasser l’espace des cieux dans notre cœur et dans notre respiration, prendre conscience qu’on est rien du tout, du tout, et en même temps qu’on est tout. D’un seul coup, avoir une importance incroyable : être soi, être là.

J’adore.

J’ai passé la soirée avec une pêche formidable. Comme d’habitude j’ai fait la vaisselle en musique, et au moment d’I will survive (qui me transporte systématiquement à une fête scolaire de mon fils petit), je me suis mise à danser, les bras en l’air, les assiettes au bout des bras, comme je ne l’avais pas fait depuis bien longtemps. J’ai pensé à la connivence incroyable que, malgré tous les malgré, on a toujours eue, et cela m’a rendue terriblement heureuse.

 

>>>>> soupir niais <<<<

 

La vie est belle, ne trouvez-vous pas ?

10 octobre 2019

À perpétuité

C’est un homme jeune, l’âge de mon fils je dirais. Planté sur deux jambes musclées, des tongs rouges aux pieds. Je faisais des largeurs dans le bassin - les longueurs étant impraticables pour cause de lâcher d’enfants (à mon humble avis, hier, tous les centres de loisirs du coin se sont donné rendez-vous dans ma piscine). Des largeurs, disais-je, des tongs rouges du maître-nageur jusqu’à celles, noires, de la mono, assise sur le bord de l’autre côté.

La foule + le brouhaha, c’est un truc épatant pour rester dans l’instant présent. La vigilance et la concentration y doivent être constantes, sauf si bien sûr le seul but de votre vie est de se manger un coup de bras, voire un gamin sur la tête. Et je ne parle pas des tasses.

J’ai bien essayé de nager sous l’eau : c’est pire. Là fourmillent une quantité phénoménale de paires de jambes munies de chaussettes de piscine de toutes les couleurs. Ce qui est, ceci dit, fort festif.

Mais c’était bien, et je me suis finalement beaucoup plus lâchée que pendant le cours de yoga de la veille.

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Alors sinon, je suis retournée à Auvers-sur-Oise, dans les pas de Valentine.

Valentine. Pas la dame aux cheveux blancs à qui nous rendions visite en Suisse, une fois l’an. Non, je parle de celle, lointaine, d’une photo perdue : elle était brune, elle était belle, elle sentait bon le sable chaud des rives de l’Oise. Sa taille était fine, si fine. Tant de grâce : je la vois s’envoler, elle danse, elle danse avec son amour dont elle m’a tant parlé, au feu de la St Jean, dans ce village français. Elle parle de lui comme d’un poème. La nuit était si douce, il la tient contre lui. Il avait les yeux bleus.

Ils dansent, dansent, dansent. Et dans ses yeux à lui, le bleu, toujours. À perpétuité.

Ces pas dans lesquels Valentine a marché, et avec elle son frère, ses pères, tous ses amis, ces endroits qu’ils ont fréquentés, je les vois, voyez-vous. Je les vois, éblouie : ici Van Gogh, là, Pissaro, ou encore Cézanne.

Pour quelques instants, je suis dans les yeux de Valentine.

Des yeux fabuleusement beaux, noirs et brillants.

Et toujours, son petit rire lointain.

Car Valentine, malgré tous les malgré, avait choisi de ne jamais pleurer.

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Insolite: boîte aux lettres..

et le logement dans la roche?

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J'ai fait cette photo sans savoir que cette route avait été peinte..

La route tournante au Valhermeil CEZANNE 1881

.. par Cézanne!

 

 

Les photos ont été prises dans un quartier d'Auvers qui s'appelle le Valhermeil, où Pissaro et Van Gogh sont venus également poser leur chevalet.

15 septembre 2020

Le truc immense qui fond (avec indice)

J'ajoute un indice en bas de cette note !

Bonne devinette !

 

Bonjour à tous,

Tout d’abord, de douces et compatissantes pensées à tous ceux qui, avec la chaleur de fou annoncée, travaillent et doivent porter le masque, en plus !

Voici enfin la réponse à l’énigme merveilleuse proposée bien involontairement par ma fille : ce qu’est le "truc immense et qui fond sous la pluie" qu’elle m’a offert pour mon anniv !

Tadadam !

Voici !

Mon fils aussi en a une immense (hm, dit comme ça, ça fait bizarre !), j’adoOore ! Chose que je ne manque pas de dire dix fois à chaque séjour chez eux !

(Super, hein, la conception de la déco chez mon fils ! Pas surchargée, ça va ! Pour son malheur, Gazelle n'a pas la même ! En même temps, c’est une femme ! Où cette pauvre fille range-t-elle ses fringues, maquillage, cours, livres, photos, etc etc etc ? (Réponse : dans leur chambre, généreusement octroyée par mon fils : c’est donc la seule pièce meublée de l’appart’ !))

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Me voici donc avec une pendule immense, je suis trop contente ! (des pendules, j’en ai partout, j’adore ça !) [Pour ce qui est de fondre sous la pluie, ma fille parlait de l’emballage, et elle n’avait pas tort : si elle l’avait trimballée le jour où elle devait venir, avec ce qu'il tombait ce jour-là ma superbe pendule aurait été endommagée !]

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Allez, hop hop !!

Une autre devinette !

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Oui c’est ma fille !

Oui c’est une posture, heu .. originale !

Non ce n’est ni un montage, ni un trucage ! (je ne sais pas faire !)

Mais qu’est-ce qu’elle fait, dites-moi dis donc ?

Premier indice :

 

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Bonne journée à vous !
29 septembre 2020

Une grande nouvelle!

P1070197 Fontainebleau

"Mama, j’ai une grande nouvelle à t’annoncer !".

Mon Dieu. Je vais être grand-mère !

"On va reprendre un chat."

Oh.

"Deux, même !"

Ah ?

"Une portée de chatons a été abandonnée dans la rue, une dame les a recueillis, elle en a encore deux à donner".

C'est ainsi que, le temps d'un aller et retour, j'ai pu faire connaissance de mes "petits-fils félins". D'abord Rio, là depuis une semaine, puis Barry, plus maigre et plus faible, qui n'est arrivé que dimanche, après avoir été bichonné par les personnes qui les avaient recueillis, des gens qui adorent les chats, ils en ont sept ! Ils leur ont fabriqué un genre de volière géante où ils peuvent vaquer en toute sécurité, et le reste du temps ils sont dans la maison. Ce sont les rois.

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Comme Rio, on va dire, qui se sentait chez lui lorsque son frère a débarqué. Il n'était visiblement pas au courant qu'il était censé le reconnaître et lui sauter dans les bras, enfin, dans les pattes. Il a sauté, ça oui, mais sur le crâne du pauvre Barry qui s'est mis à miauler à fendre l'âme. Ce furent des retrouvailles très animées !

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Il paraît que depuis, ils se sont calmés !

C'est sur ces félines nouvelles que je vous souhaite, à tous,

une très belle journée !

11 novembre 2020

Un amour simple (Virevolte)

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Bonjour à vous,

comme je l'ai évoqué ici ou là, deux blondinets de mon âge ont durablement marqué mes jeunes années : il s'agit de mon ami d'enfance Jean-Paul (on avait emménagé dans le même immeuble pour notre troisième anniversaire, et 12 ans plus tard nos parents ont déménagé en même temps aussi, c'est drôle !).

Le deuxième est le cousin qui était censé m'épouser, jusqu'à ce qu'il découvre l'existence d'un vaste horizon truffé de femmes....

Pour Virevolte aussi, deux garçons ont coloré son enfance.

Je ne vous fais pas languir plus longtemps, je lui laisse la parole !

 

❤♥●•٠·˙. ˙·٠•●♥❤

‘‘Je réfléchis beaucoup en ce moment sur l'amour, la tendresse et j'ai beau chercher, dans mon enfance je ne pense pas avoir connu cet amour tendresse. Ma mère n'avait pas connu ses parents ou si peu...Elle n'était pas du genre à faire des câlins. Je n'ai connu que mon grand-père paternel. Il était dur, avait des principes. Mon père me faisait peur, il m'impressionnait, j'ai déjà raconté qu'adolescente je n'arrivais pas à lui parler car je ne pouvais le tutoyer, c'était impossible pour moi.
Je pense que la première personne qui m'a aimée, c'était mon meilleur copain en CE1, on s'est connu jusqu'au collège. J'aimais être en sa présence. J'ai voulu le retrouver il y a peu mais je n'ai pas réussi. C'était un amour simple, sans rien attendre de l'autre, juste donner parce qu'on en avait envie. Après, j'ai eu les copines ! ;-)

 

ruelle

C'est la ruelle que j'empruntais pour aller à l'école quand j'étais en primaire. J'adorais cette petite rue où il passait très peu de voitures vu sa largeur.

Et j'oubliais aussi mon cousin ! Je lui vouais une admiration qui était réciproque.

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© photo Virevolte, chipée ici

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© photo Virevolte, empruntée

On se revoit maintenant et on prend toujours autant de plaisir à être ensemble!

Virevolte

(¯`*´¯)
`*.¸.*
¸.*¨ ¸.*¨)
(¸. .´ ¸¸.`¨
*

 

13 novembre 2020

Un coeur tendre (Daniel)

Il était une fois nos ancêtres les Celtes, qui vivaient au rythme des deux saisons, la claire et la sombre. La fête la plus importante de la période sombre était indubitablement celle de Samain ("Halloween") qui se déroulait à l’entrée de l’hiver.

Il existait néanmoins une deuxième fête hivernale dont on entend moins parler (sans doute parce qu'on n'en a pas encore fait une fête commerciale), il s’agit d’Imbolc.

Cette célébration était placée sous la bienveillance de Brigit, la plus grande déesse celtique de tous les temps (elle est aussi connue sous le nom de Dana), si populaire que l'Église, pour parvenir à évangéliser les Celtes, avait dû en faire une sainte, transformant la grande prêtresse Brigit en Sainte Brigitte.

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"Mais .. mais ..", êtes-vous en train de vous demander, "où Ambre nous emmène-t-elle avec ses histoires de crêpes et de Chandeleur ? Le confinement lui est monté à la tête ? Elle a boulotté son éphéméride à l’envers ?"

Mes chers amis, je vous rassure tout de suite ! Rien de tout cela !

Je ne vous fais pas languir plus longtemps : je cède la parole à Daniel !

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‘‘Ma grand-mère paternelle était un peu pète-sec mais un coeur tendre. Sa maison était à côté de la mienne. Je venais la voir et elle me faisait des crêpes...Hum !!! Ses bonnes crêpes !

Tous les dimanches, elle glissait dans ma poche un petit billet. Je sentais qu'elle m'aimait et quand ça n'allait pas avec mes parents, j'allais trouver refuge chez elle. Elle me mettait la télévision et tout allait mieux !!

Je pense souvent à elle et à son mari, un petit monsieur, adorable !

 

 

..¸¸.♪♫ Très belle journée à vous ! ☼....

 

 

29 janvier 2021

J'ai craqué

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Oui, j'ai craqué.

Hier, j'avais une lettre à poster (j'ai fait un portrait de Doudette, le chat de ma fille). Je suis donc allée en ville. L'air était doux, et comme il y avait peu de buée sur mes lunettes, je n'ai pas fait demi-tour, j'ai traversé la ville. Et de pas en aiguille, je suis arrivée à la forêt.

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Certes, on y trouve aussi de la boue. Mais ce n'est pas la même ! Celle-ci est plus festive, ne trouvez-vous pas ?

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Trop mignons tous les deux, non ?

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‘‘ Ma vieille, tu commences à voir des câlins partout, ça devient grave !"

 

Belle journée à vous !

18 septembre 2021

C'est à quel sujet ?

Demain c’est l’anniv de ma grande. Qui dit anniv dit souvenir d’accouchement, en tout cas pour la mère (moi). Je n’ai pas à me plaindre, à part le premier qui fut épique, les autres en deux heures c’était plié, et encore, deux heures, je compte large ! La palme revenant à mon fils, lorsque je me suis pointée avec les premières contractions (j’étais méfiante parce qu’avec ma cadette ça avait été super vite), la sage-femme reluquant mon petit ventre rond m’avait assené avec un air suspicieux : "C’est à quel sujet ?"

"Heu, je viens accoucher…"

Elle m’avait toisée de bas en haut avec un regard totalement sceptique, vu que j’étais pas grosse, donc pas à terme (j’avais entendu ça pendant neuf mois je commençais à être rôdée, même qu’on m’avait promis des enfants rachitiques (surtout la deuxième, parce que je n’avais pas arrêté de fumer), au final merci mon Dieu mes trois enfants pesaient le poids requis (3kgs et quelques) et étaient tout à fait normaux, ce qui en soi dénote un talent certain quand on voit les parents !)

Or donc, ma grande.

Je me pointe aux premiers trucs bizarres que je sens dans mon ventre. En ce temps-là, pas d’échographie, du reste mon ventre enceint et moi on a vécu notre vie peinards jusque facile sept mois, entendez par là une vie de patachon (soirées arrosées, virées entre potes dans des voitures pourries qui me faisaient faire du tape-cul à tous les coins de rue, etc etc).

Quand on a commencé à approcher de septembre, je me suis dit comme ça qu’il faudrait peut-être que je me trouve un gynéco, de préférence obstétricien. Courageuse mais pas téméraire, je n’avais pas du tout l’intention de me taper ça toute seule à la maison !

Me voilà donc débarquant à la clinique le soir de ma fête (je trouvais que c’était une super idée de faire mon bébé le jour de ma fête, même si au final ma super idée s’est avérée n’être pas celle des grandes lois du Cosmos), avec mon petit baluchon et le père du futur bébé. On venait de se farcir 4 kms à pied, vu qu’on habitait une ville desservie par les corbeaux.

Mon terme était le 15 septembre, alors comme on était le 18, dans leur grande mansuétude les blouses blanches m’ont collée dans un lit mais je voyais bien que ça ne leur faisait pas plaisir du tout. Déjà, j’étais pas grosse. J’ai bien vu dans leurs yeux à quel point c’était décevant.

En plus c’était un samedi soir et ils étaient en sous-nombre.

La sage-femme – enfin je suppose que c’était une sage-femme, personne ne me parlait là-dedans ! – est venue m’examiner. Là encore, grosse déception. Elle m’a fait un état des lieux d’un air de s’ennuyer à un point pas croyable.

Col "raccourci", qu’elle me fait.

Je ne savais pas ce que ça voulait dire mais ça n’avait pas l’air de lui faire plaisir.

Vu l’heure tardive, elle m’annonce qu’on me garde. Par contre, dit-elle, votre mari s’en va.

Ah bah non, je ne suis pas d’accord moi ! Comme il s’éloignait déjà (la nana avait un regard terrible, de quoi vous congeler sur place), je me suis mise à lui courir après pour le retenir, sauf que j’étais déjà en petite tenue (vous savez, ces machins bleus fort seyants ouverts en grand derrière), avec des tuyaux et plein d’autres bazars par ci par là, mais j’ai eu beau me jeter à genoux aux pieds de l’infirmière avec la main sur le front, elle n’a rien voulu savoir.

Je me suis donc retrouvée toute seule pour le soir de ma fête, à même pas pouvoir faire la java, en plus yavait pas de téléphone, mais oui, vous avez bien lu ! Je viens d’une époque où on pouvait NE PAS AVOIR LE TÉLÉPHONE ! Incroyable !

Je n'étais vraiment pas contente, mais alors pas contente du tout !! Mais non j’étais pas chieuse, juste une petite nana toute seule pour fêter sa fête, snif ! Et surtout pas au bout de ses surprises ! En effet, bien que mes parents aient toujours été très ouverts sur le sujet, on ne peut pas dire, maman m’a quand même raconté n’importe nawak, le strict minimum et encore, même pas, puisque ça se résume à la phrase "J’ai toujours adoré aller faire mes enfants !".

Je partais donc du principe que ça devait être super festif, comme truc.

Pour les détails, ça a été "Par le ventre", j’ai donc longtemps cru que ça se passait au niveau du nombril, jusqu’à ce que je finisse par me dire avec une logique qui frise le génie que ça devait sûrement sortir par où c’était rentré.

J’ai donc passé une nuit bien tristoune à m’ennuyer sec.

Les choses sérieuses ont commencé le lendemain, et là, j’avoue, je me suis mise à maudire la terre entière. En plus, c’était la même sage-femme que la veille qui bossait, avec son sourire en accent circonflexe, elle ne passait que pour voir où en étaient les choses, qui visiblement prenaient leur temps. Si bien que lorsque mon mari s’est pointé la bouche en cœur, je l’ai reçu en lui envoyant dans la tronche tout ce qui me tombait sous la main, lui assurant qu’il ne me toucherait plus jamais, qu’il m’avait violée et qu’il pouvait bien reprendre ce qu’il m’avait collé dans le bide parce que je n’en voulais plus !

Il a été un peu surpris et c’est la première et unique fois où je lui ai cloué le bec : il n’a pas su quoi répondre (il s’était prudemment tapi dans le couloir en attendant que les choses tournent à son avantage). Avantage qui eut lieu sur le coup des 19 heures, après que toute la clinique et même la ville entière aient découvert la puissance de mes cordes vocales.

Une petite tête brune recouverte d’une masse de cheveux comme on n’avait jamais vu sur un crâne de nouveau-né est enfin apparue entre mes cuisses, et j’ai poussé un soupir à décoiffer tout le département.

Malheureusement pour moi, je n’en n’avais pas encore fini puisque – je ne le savais pas alors, mais il me fallait encore expulser le placenta ! Quand la chose, au prix de quelques contractions supplémentaires, s’est faite enfin (de la gnognote à côté de ce que je venais de vivre), le médecin de garde qui était seul et courait d’une salle de travail à l’autre vu qu’on était quatre à accoucher en même temps, le médecin disais-je, a brandi le truc avec un sourire jusqu’aux oreilles comme si c’était la dernière merveille du monde, alors que la vraie merveille, sur mon ventre, ouvrait des yeux noirs immenses !

Après quoi, le cher homme s’est mis en devoir de me recoudre en sifflotant ...

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14 novembre 2021

Comme celui de Mary Poppins

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Bonjour à tous,

waouh! J'ai bien fait de prendre en photo le magnifique ciel bleu des derniers jours, car ça y est, la grisaille et la pluie sont arrivées ! Elles ont leur charme, c'est vrai, mais il est un peu mouillé ..

Donc, vous n'avez pas trouvé ce qu'est ce drôle d'objet ! Comme moi, vous n'en aviez jamais vu des comme ça !

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J'avoue : j'ai été la première surprise quand ma fille, immensément fière d'elle, l'a sorti de sa charrette. Il faut dire que ma fille est une déballeuse née. Elle ne manque jamais de vider son sac (ou sa charrette) dès qu'on s'attable quelque part, y compris à la maison. Son sac voyez-vous, c'est un peu comme celui de Mary Poppins : on y trouve de tout, et on a l'impression qu'elle n'aura jamais fini de le vider.

 

Le plus extraordinaire, c'est qu'elle m'a offert il y a plusieurs années un petit sac à main dont je pensais ne jamais me servir tellement il était petit, eh bien, dingue : j'y mets tout dedans ! On a l'impression qu'il ne sera jamais plein !

Mais revenons à notre mouton.

Toute fiérote, ma grande me tend la chose.

Oups ! glose-je en visualisant mentalement une scène quelque peu inadaptée, vu la taille de l'engin.

Or, depuis, je l'ai testée, et je puis attester qu'en fait, c'est totalement adapté : dans mon lit, le soir, pendant yoganidra, elle me fait chaud partout-partout, et quand je pose mes mains autour c'est, mmmh .. Ça me fait penser .. mmh ..

Oh. Heu.

Rhm. 

Pardon.

Que disions-nous ?

Ah oui : la surprise serait qu'elle s'ouvre ! (Alain) mais elle n'est pas du tout trop grosse ! (Daniel).   

Bon, cette fois, vous avez tout ce qu'il vous faut pour donner la bonne réponse, n'est-ce pas ?

Belle journée à vous !

9 février 2022

Plus rond et plus beau (La Baladine)

jeu "St Valentin"

vieux couple parapluie

Un flop, ma dernière proposition de jeu ?

Pas vraiment, car sans elle, je n'aurais pas reçu ces mots qui, après m'avoir une fois de plus cueillie, m'ont plongée dans un incomparable ravissement, ces mots déposés en commentaire, et que j'ai envie, très envie de partager avec vous maintenant.

 

●•٠·˙. ˙·٠•●

 

‘‘ Hum hum... Il me semble à mézigue (tout petit mézigue mais quand même), que c'est d'abord un rituel, dont l'origine semble bien floue (d'après certains ça remonterait à l'empire romain, mais il y a moult autres hypothèses), mais ce qui me semble à mézigue donc quasi certain c'est qu'un rituel qui célèbre l'amour ne peut pas être mauvais.
Ce qu'il me semble aussi, c'est qu'on n'est absolument pas obligé de dépenser des sous pour faire plaisir, et que le prétexte de la fête commerciale, il a bon dos. Une petite (ou immense) attention qui diffère radicalement de toutes les autres de tous les autres jours, ça le fait très bien, ça veut dire qu'on s'est creusé SPÉCIALEMENT la cervelle pour faire de ce jour (ou ce moment) là un jour (ou un moment) plus rond et plus beau que les autres, et c'est d'autant plus remarquablement généreux que ça n'a rien d'obligatoire, et c'est touchant, pour le minuscule mézigue que je suis, de penser qu'il y a des milliers de couples qui en font autant le même jour, peu importe ce qu'ils font et comment ils le font, chacun fait avec ce qu'il a, ce qu'il peut, ce qu'il veut, du moment que c'est avec des vraies émotions du fond de soi.
Voilà, je suis sûrement ultra naïve, mais c'est comme les petits cadeaux qui ne coûtent rien en sous mais une fortune en imagination, c'est naïf, mais tellement tendre et précieux...

 

 © La Baladine

 

coeur Poussiere d etoile

11 mai 2022

Vous êtes formidables !

Je le sais, pourtant, que vous êtes formidables ! Il n'empêche que chacune de vos surprises vient me cueillir, à chaque fois, et me fond dans le cœur.

Cela faisait quelques jours que Délia m'avait dit qu'elle avait préparé ce que je lui avais demandé (qu'est-ce que je pouvais bien lui avoir demandé ? moi qui ne vous demande jamais rien ?) et que cela était parti .. inutile de dire à quel point j'ai souffert de ne pas pouvoir danser autour de ma boîte aux lettres !

Eh bien le voile est levé : je viens de recevoir les articles de son blog imprimés ! Je n'en reviens pas !! Je suis tellement contente !

Bon, c'est vrai, j'adore lire sur papier, plus que sur écran. Mais quand j'ai parlé d'imprimer vos textes, c'était une taquinerie ! jamais je ne me serai permise de vous demander cela !

Mais bon, maintenant que c'est fait, hein, on ne va pas le laisser gâcher ! Ne comptez pas sur moi pour bouder mon plaisir !

Merci, Délia, vraiment !!! MERCI DU FOND DU COEUR !

Je suis tellement émue que je me retiens de pleurer avec des larmes qui partent en l'air, comme dans les dessins animés !!!!

 

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Sur l'image, ce n'est pas moi ! Je ne suis pas encore tout-à-fait prête pour ce genre de saut ! Déjà que j'ai du mal à me tenir sur un pied * ..  C'est juste pour vous donner une idée de mon état intérieur quand j'ai découvert le contenu de ma boîte aux lettres !

 

Belle journée à vous !

* dernière trouvaille de la kiné. Quelle idée saugrenue ! Je me demande bien où elle a eu son diplôme ! Je n'arrive déjà pas à faire la posture de l'arbre, la droite, je veux dire (je maîtrise très bien celle dite "de Pise"), alors qu'est-ce qu'elle croit ?

que je vais y arriver mieux sur un truc tout mou ?

 

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