Interlude
Aujourd’hui, il neige sur l’Île-de-France. Je ne vous montrerai pas de photos car je ne suis pas encore sortie, j’ai mal à mon corps et je m’abrutis de potions diverses et variées. "Mon corps n’en fait qu’à sa tête", pour reprendre une expression de mon fils. Mais allez donc vous détendre l’organisme une fois que la machine infernale s’est mise en route, qu’on n’est plus qu’un gigantesque nœud et que ce qui n’est pas noué est tendu comme un string!
J’ai la chance inouïe d’habiter à équidistance de trois forêts. Il y a peu je suis allée marcher dans l’une d’entre elles, la forêt de Carnelle, dont le nom vient du celtique carn, la pierre.
Il y a fort longtemps les Bellovaques (ceux qui crient en se battant) vivaient ici, un peuple celte de la Gaule belge. Ils avaient la réputation d’avoir combattu les armées de César avec un tel courage que Jules lui-même les avait reconnus les plus braves des tribus gauloises.
Et donc, avant-avant-avant les Bellovaques, lorsque vous veniez vous balader dans le coin vous croisiez des peuples mégalithes, païens notoires à qui on doit des petites choses comme ceci :
En revanche, le Lac Bleu (qui n’était pas bleu ce jour-là) est beaucoup plus récent !
Je vous remercie infiniment pour vos commentaires et pour vos visites!
À ceux que mon texte précédent a amusés: vous ne pouvez me faire plus de bien en me le disant! Mais je ne patarde pas, aujourd'hui je vais essayer d'aller au cours de yoga alors il faut que je me bouge les fesses!
Je vous souhaite à tous une très belle journée!
Smouiiiiiiiiiiiiiiiiich!