Ça va passer

Bonjour à vous en ce joli dimanche de mai,

rien à faire, rien de rien, je ne suis bonne à rien. Je n’arrive pas à écrire, pas à commenter. Je vous prie de m’en excuser.

Vous qui me lisez, je vous remercie. Vous qui me lisez et m'écrivez des petits mots, je vous remercie. Cela me fait plaisir et me fait du bien.

Ne m’en veuillez pas si je ne commente pas (je vous lis néanmoins) ou ne réponds pas. C’est un moment comme ça, ça va passer.

Je voulais juste que vous sachiez que je ne suis pas indifférente – je suis juste dans les nuages, ces chers nuages que j’ai toujours aimés (je me suis souvent demandé pourquoi je n’ai pas choisi d’être météorologue).

En ces temps où nous sommes privés d’un certain nombre de choses, il nous reste le ciel. Bleu, gris, rose, avec des petits nuageons tout mignons ou des effilés gris tempêteux, fidèle à lui-même, au-dessus de nos têtes.

Toujours là.

Pour ceux qui ont envie de lecture, je vous propose une des petites histoires que j'avais écrites du temps de "l'histoire du soir à mes petits-enfants"...

veuillez cliquer ici

en espérant qu’elle vous plaira.

À tous, je souhaite une belle journée.

Smouiiiiiiiiich !!

NA !

"♥(✿◠‿◠)˙·٠●♥❤

Comments

[Marie]

Bonjour Ambre, je suis comme toi, je passe énormément de temps à regarder le ciel, de jour, de nuit, puisque c'est le seul endroit où je peux poser mon regard au loin. De mes fenêtres, mon regard est forcé de s'arrêter sur les façades voisines. Si je sors, idem, des rues, des maisons de ville en alignement et quand j'arrive au parc, des grilles fermées depuis le 17 mars et je peux voir des lignées d'arbres (que je hume avec délectation) mais qui ne me permettent pas non plus de regarder loin à l'horizon.

Je te fais de gros bisous. Bon mardi.

[Lucie]

C'est très curieux ce phénomène qui semble anéantir beaucoup de personnes. On a l'impression que ce sont les gens qui s'auto-mutilent. On a quand même le droit de sortir, on peut toujours parler avec les passants, on peut téléphoner, on peut continuer à faire tellement de choses. Ne serions-nous pas tous en train de prendre pour un bouc émissaire cette période afin de pouvoir justifier notre incapacité à accepter que nous devons vivre un peu autrement.Ce n'est pas le changement qui est difficile, c'est surtout notre capacité de résistance au changement. Allez, haut les cœurs !

[La Baladine]

On comprend, on te comprend, ô combien! Mais il manque la suite de ton conte si talentueusement conté, alors dis, tu nous la donnes à lire, la suite? S'te plaît...

(((pour le reste on est pareil, faut pas croire, entre bleu et gris, entre éclaircie et nuages, entre deux, désir mais pas vraiment envie...)))

Baiser tout doux

[Coumarine]

je suis comme toi chère Ambre: incapable de commenter, incapable d'écrire...