Champagne !
Ce n'est pas mon bureau, le problème, ni mon PC. Le problème, c'est moi. Je veux continuer à faire comme si je ne m'étais pas cassé la figure (encore que je ne me sois pas cassé la figure ! J'ai trébuché, trébuchonné, un truc de rien, même pas un vrai gadin !).
Bref, je disais juste qu'il faut que j'arrête de m'accrocher à quelque chose qui n'est pas la réalité.
J'avais eu le même problème au moment du confinement. Je voulais à tout prix pouvoir faire comme avant. Ça ne pouvait pas marcher, puisqu'on n'était plus avant !
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Aujourd'hui je suis contente, ma commande Book Editions est arrivée :"L'histoire de Jacques et de Julie", écrite par moi-même, exemplaire que je vais envoyer à mon cousin de chnord puisque nous avons ces ancêtres en commun (enfin, faire envoyer, plutôt, mon frère sera ravi d'aller le poster), et le deuxième livre, c'est un cadeau que je me suis fait !
J'avoue, je n'ai pas attendu ce soir pour commencer à le lire, et je suis très enthousiasmée ! (je dis ça parce qu'en fait, j'ai des heures pour lire .. à savoir, le matin et le soir …)(je me demande si je ne suis pas un peu rigide comme nana..)
Je vous souhaite à tous une belle soirée !
PS ça fait un mois aujourd'hui. Champagne !
PS2 j'ai vu qu'Heure Bleue me fait concurrence. Franchement, on devrait monter un club ! le club des éclopées ! enfin non, comment dit-on pour une épaule ? le club des épaulées ? en tout cas tu imagines bien à quel point je compatis ! et là, franchement, c'est pas des mots en l'air ! non pas que ce soit dans mes habitudes de dire des mots en l'air, mais il y a dire et dire, tu vois ce que je veux dire ?
Attends, je reviens.
Clop-clop-clop-
Re clop-clop-clop-
"Les gens dont la santé est florissante font envie. Ils ne connaissent généralement pas leur bonheur. Leur faudra-t-il un accident de santé pour qu'ils se rendent compte à quel point l'intégrité physique est un bien précieux ?"
Je suis toujours sincère lorsque je compatis, et je me rappelle le nombre de fois où je me suis arrêtée de marcher juste pour rester plantée là, sur mes deux jambes, à regarder le ciel, pour jouir de ce bonheur que d'autres n'ont pas.
Mais en fait, je ne jouissais pas vraiment.
Je pense que la vraie jouissance, la véritable mesure de ma chance, la réalité de ma chance, je la connaitrai après.
En tout cas, Michèle, je compatis. Sincèrement.
Bisous à vous tous, smouiiiiiiich !