Comme dans les dessins animés
Bonjour à vous,
je viens de lire en simultané deux messages d’amies, l’un de Marie en commentaire (enfin là je parle de Marie Bougeotte, parce que j’ai une autre Marie qui me dit aussi toujours des trucs qui me réconfortent, ce qui tend à prouver que les Marie sont géniales)(les Chinou aussi d’ailleurs, tout comme les Vi et tous ceux qui m’aiment !)
Bon, là il faut que je m’arrête une seconde pour retrouver le début de ma phrase..
Voilà : je viens de lire deux messages, et du coup je me dis qu’il va falloir que je vous donne une explication, en plus de vous dire merci. Merci mes chéris, merci mes petits canards, merci mes canichous pour tous vos commentaires d’hier !
Alors voilà : quand je dis "j’ai envie de supprimer mon blog", ce n’est pas forcément que j’ai envie de supprimer mon blog (je vous rappelle que je suis une femme, et que comme toute femme, lorsque je dis blanc, je veux parfois dire gris, ou encore noir, tout dépend du contexte).
"J’ai envie de supprimer mon blog", c’est plutôt une métaphore pour dire que je me sens mal, que j’ai envie de détruire quelque chose, un peu comme quand j’étais jeune fille et que mon père m’interdisait d’aller voir mon amoureux, jamais je n’aurais osé lui désobéir alors à la place je pleurais toutes les larmes de mon corps (comme dans les dessins animés, voyez, mes larmes giclaient de partout) en faisant des confettis avec mes mouchoirs en tissu, ou je tailladais mes magnifiques cheveux longs avec une paire de ciseaux (le truc c’est qu’il fallait que j’attende qu’ils repoussent pour recommencer).
Donc, pas de panique, j’ai envie de supprimer mon blog mais ça va passer. En plus ce n’est même plus drôle, parce que maintenant on ne peut supprimer que le contenu du blog. L’espace reste toujours, tout vide, et c’est encore plus déprimant.
Évidemment, il reste l’option de mettre le feu à mon PC. Mais n’est-ce pas un peu radical ?
Donc voilà, tant pis pour mes mots coincés (qui a dit : "Qu’est-ce que ça serait s’ils ne l’étaient pas ?"), on va attendre que ça se décoince. C’est quand même moins pire que par téléphone – oui, parce que ça marche à l’oral aussi, c’est-à-dire que je ne peux pas parler non plus. Je décroche, et rien ne sort. Il n’y a que mon fils qui ne se formalise pas, c’est l’avantage des introvertis !
Bien alors sinon je me disais qu’à défaut d’écrire, j’allais mettre des photos. Sauf que sans appareil photo c’est assez limité, ou alors je fouille dans mes vieilles ? Oui, je vais faire ça.
Allez hop, une que j’aime bien, un jour que j’avais déliré avec mon fils on s’était pris en photo tous les deux avec le retardateur !Voilà, je vous souhaite une très bonne journée !
Smouiiiiiiiich!